vendredi 19 février 2010

Journée de mobilisation du 6 mai 2010

FORMATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX
6 MAI 2010 : MOBILISATION POUR L’ALTERNANCE ET LA
PROFESSIONNALISATION

Les Bureaux de l’AFORTS et du GNI, réunis le 12 février 2010 restent insatisfaits de la table ronde du 18 janvier 2010 organisée par la Direction Générale de la Cohésion Sociale (ex DGAS) sur l’alternance dans les formations sociales, du fait du refus de l’Etat d’apporter des réponses concrètes et immédiates à la diminution de l’offre de stage et à son appauvrissement qualitatif, liés au fait de l’obligation de gratification des stagiaires. Ils ont pris acte que les enjeux liés à l’obligation de gratification des stagiaires pour l’avenir des formations sociales ont bien été entendus et de l'attachement unanime des parties prenantes au principe de la formation en alternance et la pertinence, réaffirmée par la DGCS, des modalités pédagogiques existantes dans le processus de professionnalisation des travailleurs sociaux. Les deux Bureaux ont confirmé leur volonté d’organiser le jeudi 6 mai 2010, une journée d’action de l’alternance et de la professionnalisation. Cette journée de dimension nationale sera relayée dans chacune des régions de France.
Ce jeudi 6 mai 2010, l’AFORTS et le GNI proposent à l’ensemble de leurs centres de formation adhérents de :
o neutraliser leurs activités habituelles pour favoriser la participation du plus grand nombre à cette journée ;
o réunir l’ensemble des acteurs de la formation professionnelle des travailleurs sociaux, employeurs, organisations professionnelles, conseils régionaux et généraux, CCAS, étudiants, à un mouvement d’ampleur visant à faire valoir l’alternance, comme principe pédagogique central des formations sociales visant au développement de la professionnalisation, à l’accès à l’emploi et à l’obtention de diplômes reconnus.

mardi 2 février 2010

Un article à lire, pour comprendre les enjeux

Cherche stage désespérément,
Les ASH N° 2644, du 29 janvier 2010, publient un article qui fait un point sur la situation actuelle. Il met l'accent sur les réelles et importantes difficultées que pose la mise en oeuvre de la gratifications dans les formations sociales et éducatives, en donnant la parole aux divers acteurs.